responsable pour les populations. Nos Engagements n’ont aucune hiérarchie concurrentielle et représentent la colonne vertébrale de ce qui guide nos choix d’investissements, en France comme à l’étranger. Et un projet qui fonctionne, c’est un projet qui allie concertation et droits humains et dont on peut mesurer les impacts dans le temps. Vous parlez d’impact… Une notion qui monte ? Sans être une révolution, cette évolution est le fruit d’une réflexion initiée il y a plusieurs mois déjà, face au constat fait par beaucoup de nos parties prenantes que le développement durable ou la croissance verte étaient devenus synonyme d’inaction ou de soupçon de greenwashing. Nous avons été l’une des premières grandes entreprises à publier nos données RSE sur la plateforme Impact du ministère de l’Économie et des Finances. Nous avons remporté le prix Impact pour nos émissions sociales hybrides, et nous avons été pionniers en étant la première grande entreprise à publier son score d’impact selon la méthodologie indépendante du Mouvement Impact France qui rassemble des startups, des entreprises de l’économie sociale et solidaire et de plus en plus de grands groupes. Nous ne sommes pas leaders partout, nous avons des impacts négatifs, nous les assumons, les mesurons et travaillons à les réduire. Optimiste ou pessimiste sur l’évolution de la planète ? Churchill disait que « le pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité et l’optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté ». Je préfère la seconde option ! Avec un mantra en prime : faire de notre Raison d’être une raison de faire. Depuis plus de deux ans, j’ai la chance d’être entourée par des Collectifs, dont la porosité entre l’interne et l’externe me rend optimiste. Des collectifs d’étudiants comme celui Pour un réveil Écologique en France, de salariés comme ceux du Rhizome, le réseau écologique qui rassemble plus de 1000 salariés du Groupe, et qui s’associe à ceux d’autres entreprises qui ont mesuré l’immensité de la tâche et qui savent que l’on aura besoin de tous se responsabiliser pour être chacune et chacun au rendez-vous d’une planète avec 9 milliards d’êtres humains qui vivent dignement en 2050. Parmi eux, mes enfants, qui auront alors respectivement 45, 43, 41 et 38 ans. C’est notamment pour eux que ce combat devient ma raison d’être. Pour que jamais je n’aie à regarder derrière moi en me cherchant des excuses. EDF 67 Carine de Boissezon Le point de vue d’EDF Le Livre Blanc
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