EDF - Le Livre Blanc

Les paradoxes identifiables dans son discours Pour les ice makers, l’économiste suédois pose comme condition de garantie de la préservation de la planète une transformation profonde de nos économies, de nos modes de vie ainsi qu’une gouvernance incluant des enjeux non-strictement économiques. Pourtant, il omet le sujet des externalités positives et négatives. Il n’aborde pas non plus la question des actions à mener et celle de l’enclenchement de ces actions : il ne donne pas de pistes sur la manière dont opérer l’ensemble de ces changements ou comment rendre acceptables et désirables les contraintes qu’il faut pourtant nous imposer. Néanmoins, son intervention pose la question de la définition, à la fois d’un cadre de valeurs et des besoins communs, comme la santé, l’éducation etc… et de l’abandon de l’idée d’un modèle de croissance homogène et unique. Le regard des ice makers sur la vision de Thomas Sterner EDF 30 Externalités oubliées : Dans chaque projet, on peut identifier des externalités (positives comme négatives). Doit-on les quantifier pour les intégrer à la réflexion économique, ou au contraire, refuser la financiarisation de certains concepts (préservation du vivant, solidarité entre nations, inclusion…) pour gouverner avec des leviers de nature non-uniquement économiques et financiers ? Chacun joue ses dés - Thomas Sterner Visions d’experts Le Livre Blanc

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